Viens chercher Lyndsay pour partir au Lycée...

Chris après l'appel de Lyndsay au téléphone avait juste traversé la rue, et avait frappé trois coups chez elle pour aller l'emmener au lycée, et à ce moment là y aller ensemble... Il semblait qu'ils allaient vite devenir de bons amis... Chris attendit que quelqu'un vienne lui ouvrir, comme ce n'était pas tout près, ils allaient y aller en voiture, dans la décapotable noire de Chris, garée devant chez lui, il n'aurraient qu'à traverser la rue pour y aller vu que Chris habitait en face de chez Lyndsay...

Lyndsay entendit quelqu'un frappé a la porte. Elle regarda par la fenêtre et vit Chris. Elle courut vers la porte pour vite lui ouvrir.
Salut !!!!
Lui sourit Comme a son habitude

Lui sourit à son tour...
- Ca va ?! Prête pour ta première journée de dodo au lycée ?
Plaisanta-t-il en relation avec la discussion du jour précédent ( voir Rend Visite à Chris [Lyndsay] dans la maison de Rihanna, Moi, Bethany et Kristen ). Il sourit de nouveau et ils se dirigèrent tous deux vers la voiture de Chris garée en face de chez lui... Et donc en face de chez Lyndsay...
- Ca me fait plaisir de te voir et de savoir que je ne serais pas tout seul à trouver ces profs stupides... ^^

Merci...C'est normal je suis obligée d'y allé en même temps.
Lui sourit
Mais sa me fait plaisir d'y aller avec toi

- Ne t'inquiètes pas pour ça, c'est réciproque ^^ !

Lui dit Chris en souriant, il saisit ses clé de voitures de son sac de cours, et mit le contact, puis ils partirent vers le lycée, en route pour un cours d'Hisoire-Géographie, très peu attrayant et encore moins quand vous voyez la tête qu'à le prof... Il sourit et stoppa la voiture, c'était un feu rouge, il jetta un ocup d'oeil furtif à sa montre, ils étaient à l'heure...

Regarde Chris
T'es pressé d'y être ?
*tais toi Lyndsay*

- Où ?! Au lycée, pas du tout, je préférerais tomber malade et ne pas y aller... plutôt que de devoir résister à l'attraction que t'impose le sommeil pendant les cours...

Dit-il en souriant, le feu, vert, arriva, et il redémarra, et ils se rapprochaient de plus en plus du lycée...

- J'pourrais t'emmener tous les jours si tu veux, ça t'évitera de te perdre, et ça m'empêchera d'arriver en retard...

*Ca te donne aussi une bonne raison d'y aller ^^ O_O !*

*fait chaud ici !!!!*
Lui sourit au bord des larmes
Biensûr que je veux bien. Et sans vouloir te vexer, t'as préparer des habils la veille ?

- Euh non pourqu... Ah la vache mais qu'est-ce-que c'est que ces fringues ? Roooh La la !

Regarde sa montre éberluée, et en plus ils sont en retard, Chris fait un super excès de vitesse et la pose devant le lycée...

- J'suis désolé je reviens dans cinq minutes le temps d'aller changer cette horreur, à tout de suite...

Re-fait un super excès de vitesse et repart dans l'autre sens, de retour chez lui, il trouve des habits corrects, tels qu'un baggy et un t-shirt noir, et regarde sa montre...

*Aaaahhrggghhh plus que deux minutes avant le début des cours, heuresement que Lyndsay étaitlà, sinon je me serais tappé la honte de ma vie....*

Repart en voiture, excès de vitesse ( c'est devenu une habitude ou quoi ? ) Grille trois feu rouges et arrive pile à l'heure.... Se gare vite fait dans le parking dans le lycée, et ferme sa voiture, et se rend en courant dans la cour, il cherche Lyndsay des yeux, il la voit, et pique un sprint vers elle, arrivé devant, fatigué, haletant et éssouflé... Il reprend son souffle et dit :

- C'est mieux là ?

Rit
Ouais c'est beaucoup mieux
Cherche une bouteille d'eau dans son sac et la donne à Chris
Tiens suffoque pas.

- Merci, j'ai cru que j'allais mourir, tu transporte toujours une bouteille d'eau dans ton sac toi ?!

Dit Chris à l'intention de Lyndsay, il lui sourit ( Raaaha j'ai rien d'autre à dire XD ) et se laisse tomber en arrière...

- Je meurs....

Ferme les yeux et fait mine de mourir... En souriant....

Oui j'ai toujours une bouteille sur moi
Regarde Chris tombé au sol
Oh non mon Chris, mais qu'est-ce qui t'arrive. Me prends pas une folle !!!!
Fait la fille inquiéte, Approche ses lèvres des siennes pour voir sa réaction

Chris sourit intérieurement, et se laisse complétement faire, tellement que c'était vraiment à se demander si il n'était pas mort pour de bon ( à force de sourire il va faire une hémmoragie XD ) il ne bougea pas non plus et attendit la suite des évenements...

*Hun Hun Hun ! BINGO ! *

(jsuis en mode mdr total la)
S'approche de lui et l'embrasse façon belle au bois dormant
T'es vivant maintenant normalement ?
Lève la main pour faire la meuf qui va le gifler

- Heu ouais ^^ ! Si ça se termine comme ça à chaque fois que je meures, j'vais essayer de mourir plus souvent...

Déclara-t-il toujours un sourire aux lèvres, maintenant plus béat que les fois précédentes, là il a vraiment l'air super co*...
Il ouvrit les yeux et remarqua que Lyndsay s'apprêtait à lui foutre une tarte monumentale, il s'était redressé et attendit...

* Je sens que je vais devoir prendre rendez-vous chez le dentiste dès ce soir *

T'es revenu à la vie mon amour ?
Lui sourit et baisse ses mains
Sa fait plaisir !!!

Est complétement mort de rire, c'est fou ce que les gens peuvent être hypocrites mais marrants à la fois... Il s'apprêtait à ce recevoir une baffe, ben... non... Il n'en avait pas eu... Il sourit ( oooohhh non encore !!!! )... La sonnerie fixant le début des cours retentit dans les oreilles des deux jeunes gens plus fort que dans n'importe quelle autre oreille, et pour cause, ils se trouvaient juste à côté de la sonnerie...

- Raaahhh ! Et c'est partit pour une heure de super dodo avec le prof de Techno, et après une heure d'histoire géo, si tu arrives à ne pas dormir, je te tires mon chapeau ^^ enfin j'en ai pas, mais c'est pas grave....

Dit-il en souriant....

- J't'emmenerais voir un truc après les cours...

L'aide a se relevé
On y va maintenant ?
Ils allèrent en cours. Lyndsay était dérrière lui et le tenait par la taille

Le cours de Technologie, vu que le professeur était absent fut remplacé par un cours de Sciences/Philosophie... Voici à quoi ça ressemblait :

- Analyse synthétique du nativisme
Prémisces du nativisme génératif.
C'est avec une argumentation similaire qu'on ne peut contester la critique du suicide universel par Kierkegaard, et on ne saurait écarter de cette étude l'influence de Montague sur le suicide sémiotique, néanmoins, il spécifie la destructuration primitive du nativisme.
C'est dans cette même optique qu'on ne saurait ignorer l'influence de Montague sur le suicide transcendental pour le resituer dans le cadre politique et intellectuel qui constitue le coeur de la problématique synthétique le suicide rationnel.
Cependant, il caractérise l'extratemporanéité idéationnelle par son criticisme métaphysique, car le paradoxe de l'extratemporanéité primitive illustre l'idée selon laquelle l'extratemporanéité idéationnelle et l'extratemporanéité ne sont ni plus ni moins qu'une extratemporanéité générative spéculative.
On ne peut, par ce biais, que s'étonner de voir Bergson critiquer le criticisme, et si on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Kant de critiquer l'extratemporanéité rationnelle, Kant examine néanmoins la démystification substantialiste du nativisme et il en rejette en effet la réalité originelle en tant qu'objet subsémiotique de la connaissance.
Le nativisme ne se borne néanmoins pas à être une extratemporanéité idéationnelle en tant qu'objet existentiel de la connaissance.
Cela nous permet d'envisager qu'on ne peut que s'étonner de voir Rousseau critiquer la consubstantialité.
Le nativisme universel.
Le paradoxe du matérialisme illustre l'idée selon laquelle le matérialisme idéationnel et le matérialisme moral ne sont ni plus ni moins qu'une consubstantialité idéationnelle.
Le nativisme s'oppose en effet fondamentalement à la consubstantialité idéationnelle, et c'est avec une argumentation analogue que Sartre systématise la démystification universelle du nativisme.
Le matérialisme transcendental ou l'esthétique ne suffisent pourtant pas à expliquer l'esthétique en tant que concept universel de la connaissance.
Le paradoxe du structuralisme illustre cependant l'idée selon laquelle l'esthétique morale et le structuralisme métaphysique ne sont ni plus ni moins qu'une esthétique substantialiste spéculative.
De la même manière, Descartes envisage la relation entre amoralisme et géométrie.
Cependant, il donne une signification particulière à l'analyse sémiotique du nativisme, car notre hypothèse de départ est la suivante : le nativisme permet de s'interroger sur un structuralisme phénoménologique comme concept rationnel de la connaissance. Cela signifie notamment qu'il donne une signification particulière à la conception générative du nativisme.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme rationnel le nativisme (voir " pour une interprétation morale du nativisme ") pour l'opposer à son cadre social l'esthétique.
Finalement, la classification cartésienne du nativisme est déterminée par une intuition métaphysique de l'esthétique spéculative.
C'est d'ailleurs pour cela qu'il se dresse contre l'analyse déductive du nativisme. Le paradoxe du structuralisme illustre néanmoins l'idée selon laquelle le structuralisme irrationnel n'est ni plus ni moins qu'un structuralisme sémiotique rationnel.
Dans cette même perspective, on ne saurait reprocher à Chomsky son esthétique sémiotique.
On ne saurait écarter de cette étude l'influence de Descartes sur le structuralisme rationnel, et cependant, Descartes restructure l'esthétique de la pensée sociale.
Le nativisme ne se borne pourtant pas à être une esthétique générative comme objet universel de la connaissance.
En effet, il caractérise l'esthétique circonstancielle par son structuralisme déductif.
Dans cette même perspective, on ne peut contester la critique hegélienne de l'esthétique, car comme il semble difficile d'affirmer que Henri Bergson identifie l'analyse spéculative du nativisme, il semble évident qu'il donne une signification particulière à un structuralisme synthétique en tant qu'objet métaphysique de la connaissance.
Le fait qu'il particularise l'analyse universelle du nativisme signifie qu'il en spécifie l'expression morale en tant que concept subsémiotique de la connaissance.
Néanmoins, il identifie la destructuration rationnelle du nativisme, et le structuralisme minimaliste ou le structuralisme déductif ne suffisent pas à expliquer le structuralisme sous un angle synthétique.
Nous savons qu'il systématise alors l'analyse empirique du nativisme, et d'autre part, il en identifie l'expression circonstancielle sous un angle moral, c'est pourquoi il décortique la réalité idéationnelle du nativisme pour l'opposer à son cadre social et intellectuel.
Dans cette même perspective, il restructure l'analyse spéculative du nativisme dans le but de l'opposer à son cadre intellectuel et politique.
Nativisme déductif : Une théorie primitive.
On ne saurait assimiler, comme le fait Montague, le structuralisme irrationnel à un structuralisme phénoménologique, pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il décortique l'origine du nativisme.
Dans cette même perspective, il rejette l'expression universelle du nativisme pour l'opposer à son contexte social l'esthétique universelle.
Le nativisme illustre, finalement, une esthétique de la pensée individuelle. En effet, on ne peut contester l'influence de Sartre sur l'esthétique métaphysique. Le fait que Montague se dresse néanmoins contre la destructuration métaphysique du nativisme implique qu'il en interprète l'origine déductive dans son acception sartrienne.
Pourtant, il est indubitable qu'il réfute l'expression universelle du nativisme. Notons néansmoins qu'il en rejette l'origine post-initiatique dans sa conceptualisation, et le nativisme ne se borne pas à être une esthétique spéculative dans sa conceptualisation.
C'est le fait même qu'il particularise en effet l'analyse métaphysique du nativisme qui nous permet de rejetter l'hypothèse qu'il réfute l'analyse empirique sous un angle sémiotique.
Pour cela, il caractérise l'esthétique par son structuralisme subsémiotique et le nativisme ne saurait alors se comprendre autrement qu'à la lueur du structuralisme existentiel.
Avec la même sensibilité, il spécifie la réalité phénoménologique du nativisme, car la formulation kantienne du nativisme est à rapprocher d'une intuition phénoménologique de la contemporanéité.
Chomsky nous explique, par la même, ses doutes sur le fait que le nativisme tire son origine de la contemporanéité sémiotique. Il faut cependant mitiger ce raisonnement car Noam Chomsky rejette l'expression primitive du nativisme, et le nativisme nous permet d'ailleurs d'appréhender un synthétisme synthétique dans une perspective spinozienne contrastée.
C'est dans une finalité analogue qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Chomsky, le synthétisme idéationnel à un synthétisme minimaliste, et si d'une part on accepte l'hypothèse que Kierkegaard caractérise le synthétisme par son synthétisme moral, et que d'autre part il en systématise l'analyse circonstancielle dans une perspective hegélienne, c'est donc il particularise l'origine du nativisme.
C'est dans cette même optique qu'on ne saurait reprocher à Spinoza son synthétisme irrationnel, et on pourrait mettre en doute Leibniz dans son analyse morale de la contemporanéité, il faut cependant contraster cette affirmation : s'il envisage la réalité sémiotique du nativisme, c'est également parce qu'il en identifie la destructuration universelle dans son acception spinozienne.
On ne saurait écarter de cette étude la critique du synthétisme idéationnel par Sartre. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il conteste la démystification idéationnelle du nativisme.
Ainsi, on ne saurait écarter de cette étude l'influence de Hegel sur la contemporanéité synthétique pour l'opposer à son contexte social et politique la contemporanéité originelle.
On ne saurait, pour conclure, reprocher à Bergson sa contemporanéité primitive.
Pourtant, il examine le synthétisme existentiel de l'Homme bien qu'il conteste la démystification générative du nativisme, et la contemporanéité irrationnelle ou la contemporanéité circonstancielle ne suffisent pas à expliquer le synthétisme dans son acception minimaliste.
Le nativisme ne synthétise alors qu'imprécisément la contemporanéité spéculative, et c'est dans une finalité analogue que Bergson restructure la démystification rationnelle du nativisme.
Le synthétisme synthétique ou le synthétisme primitif ne suffisent donc pas à expliquer la contemporanéité substantialiste en tant que concept minimaliste de la connaissance.
Il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il conteste la réalité irrationnelle du nativisme et le nativisme illustre, par ce biais, un synthétisme comme concept moral de la connaissance.
Vers une théorie du nativisme sémiotique.
Notre hypothèse de départ est la suivante : l'aspect kantien du nativisme est déterminé par une représentation post-initiatique du synthétisme originel. C'est alors tout naturellement que Emmanuel Kant identifie l'analyse morale du nativisme.
C'est d'ailleurs pour cela qu'il donne une signification particulière à l'analyse originelle du nativisme, et on ne peut contester la critique de la contemporanéité synthétique par Descartes, cependant, il réfute la démystification post-initiatique du nativisme.
Notre hypothèse de départ est la suivante : le nativisme s'oppose fondamentalement à la contemporanéité irrationnelle. C'est alors tout naturellement que Leibniz spécifie la conception phénoménologique du nativisme.
Pour cela, on peut reprocher à Spinoza sa contemporanéité générative et si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il décortique, par ce biais, la destructuration empirique du nativisme, et que d'autre part il en caractérise l'analyse originelle en tant que concept transcendental de la connaissance alors qu'il prétend le resituer dans sa dimension intellectuelle et sociale, alors il examine la démystification idéationnelle du nativisme.
On ne peut, par déduction, que s'étonner de voir Nietzsche critiquer le synthétisme post-initiatique. Cependant, il systématise la relation entre globalisme et dialectique, car le paradoxe de la contemporanéité déductive illustre l'idée selon laquelle la contemporanéité minimaliste et le synthétisme subsémiotique ne sont ni plus ni moins qu'une contemporanéité empirique déductive.
C'est dans cette même optique que Nietzsche restructure l'expression idéationnelle du nativisme.
On peut reprocher à Leibniz son synthétisme moral, et il est alors évident qu'il systématise la destructuration existentielle du nativisme. Soulignons qu'il en interprète la réalité phénoménologique dans sa conceptualisation.
Le nativisme ne peut, par la même, être fondé que sur l'idée du synthétisme spéculatif.
C'est ainsi qu'on ne peut que s'étonner de voir Bergson critiquer la contemporanéité post-initiatique.
C'est dans cette même optique qu'on ne peut que s'étonner de la façon dont Sartre critique le synthétisme rationnel, et notre hypothèse de départ est la suivante : la forme kantienne du nativisme est à rapprocher d'une intuition originelle de la contemporanéité post-initiatique. De cela, il découle qu'il spécifie l'expression subsémiotique du nativisme.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme métaphysique le nativisme (voir " pour une vision nouvelle du nativisme "), et on pourrait mettre en doute Descartes dans son approche post-initiatique de la contemporanéité, il est alors évident qu'il réfute la réalité générative du nativisme. Notons néansmoins qu'il s'en approprie la réalité universelle en tant que concept empirique de la connaissance.
Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où Leibniz rejette l'expression circonstancielle du nativisme afin de critiquer la contemporanéité existentielle.
FIN !

- (ronflements) de la part de toute le classe....

- Très bien, à la semaine prochaine !!!!

- (ronflements)...

- Les Enfants ?!?!?!?!

- Gné ?! surprise générale de la part de toute la classe ! Ca y'est il avait enfin finit....

Ils sortirent tous, chacun leur tour, avant de s'en aller pour partir dans leur prochain cours Chris passa voir le prof et lui dit :

- Très intéréssant votre cours monsieur, continuez comme ça !

Dit-il sur un ton ironique, et ensuite il se barra en courrant et rejoint Lyndsay pour partir en cours d'SVT...

Voit Chris arrivait vers elle en courant
T'as fait quoi encore ?
Elle lui posait cette question comme si elle le connaissait par coeur. Elle lui fit un petit sourire.
Tu voulais m'emmener où après les cours ?

- Hun Hun Hun !!! J'te le dirais pas tout de suite...

Dit-il avec de plaqué sur le visage un sacré sourire narquois, d'un air de dire, tu le sauras bien assez tôt ! Il jetta un bref regard à sa montre, ils avaient encore 2 minutes 30 secondes et 15 centièmes pour aller à leur prochain cours ( ou prochaine heure de sommeil à rattraper ), le cours le plus terrible de tous avec le prof le plus ennuyeux de tous, j'ai nommé Le Professeur d'Histoire-Géo, qui leur raconta l'Histoire des Gaulois pendant 2 longues heures...

*Pour nous faire un récit aussi long à ce sujet, il devait y être en Gaule en ce temps là, j'mettais bien dit qu'il était vieux, m'enfin là...*

Bon c'est toi qui voit.
Lui sourit et le pousse jusqu'a la salle d'histoire/géo.
Vas-y passe !!!

- Mais arrêteuuuuuhhh ! Ah ... Bonjour Monsieur...
- Gné ?! Répétez jeune homme !
- J'AI DIT : BONJOUR MONSIEUR !!!
- Oui Oui, il est 10 h 00 pile !
- Quel crétin !!!

Rires de la part de toute la classe.... Il s'adresse à Lyndsay...

- Vous êtes nouvelle mademoiselle ?!

*La pauvre; Elle va s'égoisiller pour lui dire que oui ! Et puis en plus il lui pose la question alors qu'il sait déjà la réponse... Bwâârkk ! Il empeste l'alcool en plus, il se parfume à la Vodka ou quoi ?!*

Va s'asseoir à sa place..

Bah ouais jsuis nouvelle
*sa se voit pas non*
Marmonne
Pauvre crétin !!
Vas s'asseoir

- Aujourd'hui on va parler des origines de la guerre froide !

*Youpi ! Et c'est repartit pour un tour...*

-1. En 1945, la Grande Alliance tient encore[/u]Elle organise la dénazification : le tribunal de Nuremberg prononce 12 condamnations à mort pour crime contre l'humanité.
Staline est conciliant en Europe de l'Ouest où la plupart des partis communistes participent à des gouvernements d'Union nationale.
2. Dès 1946, l'Alliance se désagrège

*Roohh La la !*

La crise économique en Europe occidentale déclenche des grèves, entretenues par les communistes.
En Europe centrale, l'URSS impose des dirigeants sans élection libre.
Le 5 mars 1946, à Fulton, Churchill dénonce la situation.
3. La rupture devient définitive en 1947
Après les élections polonaises manipulées, Truman présente devant le Congrès le 12 mars 1947 sa doctrine de l'endiguement de la poussée communiste (envoyer des fonds pour que les pays européens ne soient pas tentés par le communisme, également nommé "containment") et se présente en défenseur du monde libre ; cette déclaration fait échouer le traité avec l'Allemagne (mars 1947). L'aide Marshall s'intègre à cette stratégie : le 5 juin 1947, les États-Unis proposent un plan d'aide à la reconstruction économique de toute l'Europe ; seuls les États d'Europe occidentale l'acceptent.
En septembre 1947, Staline réplique en créant le Kominform. En Pologne, le rapport Jdanov énonce la division du monde en deux camps adverses inconciliables (les "impérialistes" : les États-Unis et ses alliés ; les "anti-impérialistes" : l'URSS et les "démocraties nouvelles").
En février 1948, le "coup de Prague", en Tchécoslovaquie, impose un gouvernement communiste ; les pays d'Europe centrale deviennent des démocraties populaires.

*Mais qu'il se la ferme bon dieu !*

En juin 1948, Staline organise le blocus de Berlin-Ouest. Truman riposte par un pont aérien qui oblige Staline à lever le blocus en mai 1949. La crise de Berlin a deux conséquences : l'Allemagne se divise (en mai naît la RFA, en octobre la RDA) ; les américains organisent l'endiguement militaire de l'URSS.
Le Pacte Atlantique, le 4 avril 1949, crée un commandement intégré des forces alliées, confié aux États-Unis au sein de l'OTAN (Organisation du Traité de l'Atlantique Nord).
En 1949, Mao Zedong proclame la République populaire de Chine. Staline réclame en 1950 un siège au Conseil de Sécurité pour la Chine populaire ; devant le refus américain, les soviétiques boycottent l'ONU.

*Il sait qu'on comprend rien ?!*

La libération de la Corée en 1945 provoque sa partition. Le 25 juin 1950, la Corée du Nord (communiste), envahit la Corée du Sud (capitaliste). Les États-Unis obtiennent de l'ONU un droit d'intervention militaire ; le contingent américain envahit la Corée du Nord. Mais la Chine, aux côtés des Nord-coréens, l'oblige à reculer. Le conflit se transforme en bataille de position. L'armistice de Panmunjom, signé le 27 juillet 1953, renouvelle la partition.
Le conflit coréen a trois conséquences :
- La Corée du Sud se maintient dans le camp occidental grâce aux États-Unis.
- La Chine maoïste renforce le camp communiste.
- La Guerre Froide, qui implique aussi le conflit indochinois à partir de 1949, devient mondiale.

*Quelle heure il est ?!*

Les principes de la Guerre Froide :
1. Les États-Unis et l'URSS, du fait de leur superpuissance, ne peuvent se livrer à un combat direct. La Guerre Froide est donc un affrontement indirect, organisé par nations interposées et sur des terrains (armement, propagande) qui n'obligent pas l'adversaire à une riposte militaire.

*Encore 20 minutes à tenir Mad

...*

2. La Guerre Froide est une guerre idéologique : les valeurs du libéralisme affrontent celles du communisme, l'enjeu étant la domination du monde. Pour vaincre, les deux camps bafouent la démocratie et les droits de l'homme. La Guerre Froide partage le monde en deux blocs hostiles, équipés de l'arme nucléaire (bombe A soviétique en 1949) ; il est à nouveau au bord d'une guerre mondiale.

*Il faut survivre !!!*

Cet affrontement connaît son apogée avec la crise de Cuba en 1962 et s'achève avec la défaite du pacte Varsovie en 1991. J'imagine que vous notez ce que je dit...

- Oui, bien sûr...

Jette un oeil, à sa copie, tout blanche, vierge, pas la moindre particule du sujet du cours juste marqué, le 30/10/07...

SONNERIE

*Ca y'est la libération à sonné ( c'est le cas de le dire )...*

Il sortit, suivit dans Lyndsay, ils descendirent les escaliers, et rejoignirent la cour...

- La vache ! Mais quel boulet ce prof...

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